lundi 22 avril 2013

Mon amour


Ma belle, tu es mon trésor
Ton amour est précieux comme l'or
Chère amour, la reine de mon cœur
Je pense à toi tous les jours.

Tel une rose, tu as embelli tout autour de moi
Tel une mélodie, ton rythme prend possession de moi
J'éprouve une joie sans pareil quand je te vois
Et la beauté de ton visage me laisse sans voix.

Chaque mot déchaîne mon émoi
Chaque regard m'attire vers toi
J'ai envie que tu sois dans mes bras
Je rêve que tu sois only à moi.

Tu as rempli mon cœur de douceur
Tu m'as apporté la joie, l'amour
Ta présence fait fondre mon cœur
Vers toi mes désirs partent sans peur.

Reine, je suis dingue de toi
Je ne peux plus vivre sans toi
Mon amour pour toi est éternel
Tu es pour moi la plus belle.

Chérie, je t’aime et je suis fou de toi
Je rêve de toi, je pense sans cesse à toi
Chérie, tu es l’air que je respire
Sans toi je vais souffrir, mourir.

Chérie, tu es la plus belle des reines
Tu es le sang qui coule dans mes veines
Chérie, tu es le bonheur qui me réjouis
Tu es le soleil de mes jours, la lune de mes nuits.

Chérie, un jour sans toi
Est un jour fade sans des- amours, sans bonheur
Un jour sans toi
Est comme une fleur qui a perdu sa couleur et sa saveur.

Chérie, je suis tellement fou de toi
J'ai tellement envie de toi
Tu es ma source de joie
Je veux que tu sois only à moi




rencontre amoureuse


vendredi 1 mars 2013

À l'amour


Reprends de ce bouquet les trompeuses couleurs,
Ces lettres qui font mon supplice,
Ce portrait qui fut ton complice ;
Il te ressemble, il rit, tout baigné de mes pleurs.

Je te rends ce trésor funeste,
Ce froid témoin de mon affreux ennui.
Ton souvenir brûlant, que je déteste,
Sera bientôt froid comme lui.

Oh ! Reprends tout. Si ma main tremble encore,
C'est que j'ai cru te voir sous ces traits que j'abhorre.
Oui, j'ai cru rencontrer le regard d'un trompeur ;
Ce fantôme a troublé mon courage timide.

Ciel ! On peut donc mourir à l'aspect d'un perfide,
Si son ombre fait tant de peur !
Comme ces feux errants dont le reflet égare,
La flamme de ses yeux a passé devant moi ;

Je rougis d'oublier qu'enfin tout nous sépare ;
Mais je n'en rougis que pour toi.
Que mes froids sentiments s'expriment avec peine !
Amour... que je te hais de m'apprendre la haine !

Eloigne-toi, reprends ces trompeuses couleurs,
Ces lettres, qui font mon supplice,
Ce portrait, qui fut ton complice ;
Il te ressemble, il rit, tout baigné de mes pleurs !

Cache au moins ma colère au cruel qui t'envoie,
Dis que j'ai tout brisé, sans larmes, sans efforts ;
En lui peignant mes douloureux transports,
Tu lui donnerais trop de joie.

Reprends aussi, reprends les écrits dangereux,
Où, cachant sous des fleurs son premier artifice,
Il voulut essayer sa cruauté novice
Sur un coeur simple et malheureux.

Quand tu voudras encore égarer l'innocence,
Quand tu voudras voir brûler et languir,
Quand tu voudras faire aimer et mourir,
N'emprunte pas d'autre éloquence.

L'art de séduire est là, comme il est dans son coeur !
Va ! Tu n'as plus besoin d'étude.
Sois léger par penchant, ingrat par habitude,
Donne la fièvre, amour, et garde ta froideur.

Ne change rien aux aveux pleins de charmes
Dont la magie entraîne au désespoir :
Tu peux de chaque mot calculer le pouvoir,
Et choisir ceux encore imprégnés de mes larmes...

Il n'ose me répondre, il s'envole... il est loin.
Puisse-t-il d'un ingrat éterniser l'absence !
Il faudrait par fierté sourire en sa présence :
J'aime mieux souffrir sans témoin.

Il ne reviendra plus, il sait que je l'abhorre ;
Je l'ai dit à l'amour, qui déjà s'est enfui.
S'il osait revenir, je le dirais encore :
Mais on approche, on parle... hélas ! Ce n'est pas lui !